Survie au bord de la mort.

Sareko déposa la jeune femme au bord de la source. Il prit une plante cicatrisante qui poussait la et un peu d'eau dans ses mains. Il versa le liquide limpide sur le bras de la femme, toujours inconsciente. Grâce à la plante qui effleura la plaie, les peaux se raprochèrent et se refermèrent, ne laissant qu'une petite cicatrice qui disparaîtra surement avec le temps. Les plantes cicatrisantes sont vraiment très efficaces. Sareko se leva et en ramassa assez pour faire disparaître la plapart des blessures de la jeune femme. Avec l'aide apportée par l'eau pure et limpide de la source, la jeune femme reprendrait biento connaîssance.

HJ: J'attend Elen.

En effet. Ellen avait sentit qu'on la transportait, grâce au trois instincts qu'elle avait. Elle sentit qu'on la soignait. De l'eau coulait sur ses plaie, effleuré par une plante qu'Ellen ne réussi pas a identifier.* Pourvue qu'il ne me retourne pas encore...* Au début, Ellen s'était laisser faire. Mais maintenant, le temps presser. S'il ou elle découvrait la marque dans son dos, il ou elle pourrait très bien la mettre sur un bûcher.

Luttant, elle réussit à ouvrir les yeux, reprenant peu a peu conscience avec le monde, grâce, sûrement a sa lutte contre l'inconscience, mais surtout grâce au soin de... L'elfe? Azeroth l'avait transportait si loin? Pour que personne ne la trouve, et qu'elle meure. Ou alors pour la séparer de ses amis..

Ellen avait la gorge sèche, la mine pâle, et un goût de souffre sur la langue. Son expression était neutre, quoi que troubler. Elle ne réussit pas a parlé, de toute façon, elle préférer se taire. Pour l'instant.

Sareko vit que la jeune femme s'était réveillée, mais il continua quand même a soigner ses plaies. Il se leva, prit une feuille assez grande pour contenir de l'eau. L'elfe remplit la feuille d'eau, et la porta à la bouche de la jeune femme. Un peu d'eau dans le gosier ne lui ferait pas de mal.

" _ Je suis désolé, mais certaines de vos blessures sont vraiment profondes, et les plantes ne peuvent pas les soigner. Il faut recoudre certaines entailles dans votre peau, pour les cicatriser. Si vous permettez... "

En prononçant cette phrase, il posa la plante cicatrisante qu'il avait dans la main, se leva, et s'approcha d'un coin herbeux. Il y arracha certains brins, longs de plusieurs mètres, et solides comme l'acier. Il s'approcha a présent d'un arbre avec des aiguilles en guise de feuilles. Il ôta trois aiguilles d'une branche, et y attacha un brin d'herbe.
Il retourna voir la jeune femme, et s'accroupit a côté d'elle. Il entreprit de recoudre une profonde entaille sur le côté de la jeune femme. Tout d'abord, il reprit la feuille qui avait servi de récipient pour boire, et déversa un peu d'eau limpide sur la blessure. Par un premier point, il raprocha les deux bords de la peau. Tout en continuant de recoudre la peau, il remarqua que la jeune femme le dévisageait. Gardant son sérieux, comme toujours, il reporta toute son attention sur la plaie qui s'était arrêtée de saigner.
Sareko avait fini de recoudre la plaie. Mais une autre attendait son tour... Il prit une deuxième auguille, et y accrocha un autre brin d'herbe. Cette fois, le bessure se situait dans l'épaule de la jeune femme. Il déversa a nouveau un peu d'eau sur la plaie et rapprocha les deux bords de la peau d'un premier point. Si la femme souffrait, elle ne le montrait guerre. Le visage de Sareko était toujours vide d'expressions, comme a son habitude. Pour avoir de pareilles blessures, elle devait d'être faire attaquée par un puma, ou une hyène. Mais pourquoi avoir les yeux bandés, dans ce cas ? Sareko tourna la tête en direction du foular en question. Il pensait qu'il pourrait bien servir de bandage. Comme la plaie qu'il soignait saignait quelque peu, il attrapa le bandeau, et banda le bras meurtri avec. Il venait de finir de soigner cette blessure. La dernière, ce pourquoi il avait pris trois auguilles, barrait le bas du dos de la jeune femme. Il attrapa la dernière auquille et un dernier brin d'heure, et s'appreta à recoudre la plaie monstrueuse. Hum... A son avis, la femme ne s'était fait attraquée ni par une hyène, ni par un puma... Pour faire d'aussi grosses entailles dans la chair, il faudrait un griffon entraîné... Non, elle ne pouvait pas s'être fait attaquer. Les griffons n'attaquent pas comme sa. Et comme la femme ne paraîssait pas folle, il pensa qu'elle ne serait pas assez stupide pour aller embêter les griffons, au péril de sa vie. Mais que lui était-il donc arrivé, alors ?
Serako entreprit de verser un peu d'eau sur la dernière plaie à recoudre.

Ellen tressailli. Elle savait que tentait de soignait l'ignoble marque dans son dos était peine perdue. Demain, elle redeviendrait comme maintenant. Mais elle se garda bien de le dire. L'eau lui avait fait du bien, mais elle se sentait malheureuse. A cause du fait que Chaos ne répondait plus, et que son désespoir déteignait sur elle.

Mais elle se ressaisit. Elle étendit ses jambes et dit, d'un ton neutre:

"-Merci de faire sa pour moi."

Quoi d'autre a dire? Ellen ne le méritait pas. Tout ce qu'elle faisait, c'était crée des catastrophes. Mélancolique, elle laissa ses yeux se perdre dans le vide, terne. Peut a peu, elle reprenait des couleurs. Laissant l'elfe s'occuper de ses blessures, elle laissa une des ses mains traîner dans l'eau. Elle ne ressentait aucune douleur, celle ci ayant été si forte au cour de la dernière heure que la simple piqûre de l'aiguille était indolore. Elle s'était aussi prise des coups, mais les bleus ne commencer à peine à apparaître. Seul son visage avait était épargner. *J'aurais eu l'air de quoi?*

Sareko aperçut soudain la Marque des Bannis dans le dos de la jeune femme.

" _Ce n'est rien... répondit-il. De toute façon, je n'ai rien d'autre à faire. "

L'expression sur le visage du jeune elfe restait vide. Enfin, il eut fini de recoudre la blessure dans le bas du dos de la femme. Ce n'était pas la peine d'essayer de recoudre la Marque des Bannis... Il perdrait son temps.
Mais il devait bien reconaître que la jeune femme l'intriguait quelque peu. Il l'avait trouvée, évanouie, un bandeau sur les yeux, et la Marque des Bannis dans le dos... Il y avait tout de même de quoi de poser des questions !

" _Vous avez encore soif ?" demanda-t-il en arrachant une autre feuille assez grande pour contenir de l'eau.

La femme semblait surrise qu'il ne lui ait pas encore parlé de la Marque dans son dos. Elle devait pourtant savoir qu'il l'avait vue... Sareko lui en parlerait peut-être, quant elle se remettra. Peut-être...
Le soleil était brûlant, et il chauffait la peau du jeune elfe. Ce dernier aimait la sensation que lui offrait le temps dégagé. Il regarda la source d'eau limpide, et se laissa envouter par le bruit du coulis du liquide désaltérant. Comme il regardait le soleil, il ne plissait pas les yeux. Sareko ne semblait pas gêné par la lumière aveuglante. Son visage n'affichait pas la moindre trace d'impressions ou d'expressions. Sa bouche était détendue, au repos. Son regard semblait défier le soleil de le brûler.

Ellen ne tressailli pas. C'était celui qui restait le plus indifférent le plus longtemps. Alors il en serait ainsi. Recouvrant son dos, elle se leva, fit quelque pas mal assurer avant de reprendre cette démarche souple, féline et silencieuse qui la caractérisée. Presque une marche d'Elfe. Elle passa en revus ses armes, et entreprit la tache difficile de nettoyer son gunblade. Ensuite, elle nettoya ses bottes, dagues, et autres instruments.

Ignorant Sareko, elle remit de l'ordre dans sa tenue et dans ses armes, avant de se diriger vers l'ombre de la forêt. Cette ombre si rassurante, attirante. Elle ne se retourna pas. Si L'elfe voulait la suivre, et ben qu'il le fasse. Mais a ce moment la, elle ne l'épargnerait pas, selon la réaction de cet individu. *S'il se cache, je le tue. S'il se cache pas... C'est que c'est un imprudent. De toute façon, l'issus est la même. Voyons voir si il a du crans et qu'il ne se cache pas.* Néanmoins, Ellen était curieuse. S'il ne se cachait pas, l'issu pouvait être tout autre. (Ellen la noir est revenus.)

Ses yeux luisirent encore une fois, puis elle disparut sous le couvert des arbres, sans qu'elle ne se soit retourner une seule fois.

Ses yeux gris bleu, indifférent au soleil, sauf s'il était trop fort, voyait presque parfaitement dans le noir, aidait par la vue de Darkness.

Sareko regarda la jeune femme s'éloigner, et était curieux de savoir ou elle allait. L'espionner ? Non. Si il devait la suivre, ce serait devant ses yeux. Mais avant tout...

" _Vous devriez peut-être vous reposer un peu, avant de partir. La plante a cicatrisé les blessures physiques, pas la fatigue. Si vous refusez de suivre mon conseil, je vous demande de faire attention à vous. Cette forêt n'est jamais sûre..."

Et c'est d'ailleurs ce que Sareko adorait dans la forêt. Il n'aimait pas s'ennuyer, et même si ce qu'il faisait dans la forêt mettait sa vie en péril, il n'abandonnait jamais. Il devinait bien que la jeune femme n'avait pas l'abitude de la forêt. Si elle ne faisait pas attention, elle ne survivrait pas bien longtemps... Mais le gunblade de la jeune femme ne lui était pas passé inaperçu. C'était quelque chose, tout de même ! Un gunblade ! Une arme rare et efficace.
Sareko avait compris que la jeune femme faisait comme un concours d'indifférence. A celui qui garderait son sérieux le plus longtemps...

"-Je connais très bien les dangers de tout les forêt. Je ne suis pas née de la dernière pluie."

Aucune colère, juste un calme plat et de l'indifférence, comme si elle disait tous les jours sa, c'est tout ce que sa voix exprimait. Elle ne ressentait pas de fatigue. Peut être dans une heure ou deux, quand son corps aura assimiler toutes ses blessures et aura tout compris. Mais même crever, elle ne s'arrêterait pas. Jamais elle ne terminerait son chemin. Tant que son cœur battrait, elle avancerait. Mais quand la mort lui ouvrira ses bras, elle s'y abandonnerait. Elle ne fuirait pas la mort. Elle ne l'avait jamais fuit. Ce n'était pas son heure, pas encore. Pour combien de temps?

Elle prit son gunblade, dont la lame était longue d'un bras, et le posa sur son épaule. Prête a dégainer. Elle avait aussi une épée, mais si elle devait tuer rapidement, le gunblade serait plus pratique. Pour ses meurtres, elle utilisait soit une épée, soit une dague. Mais pour tirer dans le tas, le gunblade était mieux, mais plus bruyant. Souplement, elle évita un rabos, qui festoyait, plongeant son bec dans un corps sans vie, méconnaissable. Elle passa devant de nombreux animaux, sans que ceux ci ne l'entendent, ou ne la voie. Puis, une petite heure plus tard, Ellen s'assit sur un tronc, entièrement épuiser. Mais sans le montrer, elle souffla par le nez, et attendit.

Sareko regardait le soleil. " Née de la dernière pluie. " Cette phrase lui donnait envie de voir disparaître le soleil dernière des nuages noirs, et de laisser tomber de lourdes gouttes de pluie sur son visage. Il en avait un peu marre, de ce soleil. Cuisant. Ecrasant.
Le jeune elfe pensait que la jeune femme ne pouvait pas connaître TOUS les dangers de TOUTES les forêts. Mais bon...
D'un bond, il aterrit sur une branche d'arbres. Du haut de son perchoir, il aperçut Ellen. Il sauta sur la branche voisine, et vit qu'un tigre rouge s'approchait dangereusement d'elle. Un peu voir comment elle se débrouillerait...

Ellen ne regarda même pas l'elfe. Si sa lui plaisait de faire le singe. Néanmoins, un froissement de feuille lui fit braquer son gunblade vers les fourrés. Un grognement lui enleva tout hésitation. Elle tira. Une bale. Un gémissement suivi d'un bruit mate de chute, puis un silence. Ellen baissa son bras tendu, et coupa avec d'habile mouvement du poignet les fourrés autours de la bête blessé.

Le tigre , de couleur rouge, avait était atteint en plein poitrail. Sans aucune pitié pour l'animal gémissant, elle enfonça sa lame dans la gorge du fauve, et tourna brusquement, faisant craquer les os de sa victime. Elle avait l'habitude de tuer, un pauvre chaton ne lui faisait pas peur, et ne l'attendrissait pas.

Sareko entendit le bruit écoeurant des os du lion lui se brisaient. Hum... En fait, Ellen lui avait rendu service. En tuant se tigre, elle lui avait préparé son repas du soir. Pratique.

............

Le soir venu, Sareko attrapa une pierre coupante, et coupa la chair du tigre rouge en petits morceaux. Rassenblant des grandes feuilles qui serviraient d'assiètes, il déposa délicatement un morceau de viande dans chacune d'elles. Il y avait beaucoups d' "assiètes" improvisées, car le tigre était plutot gros.
Sareko se conçentra. Utiliser son pouvoir lui permetrait de griller la viande. Soudain, les assiètes improvisées chauffèrent, devinrent brûlantes, grillant la viande. Si l'efle se concentrait intensément, il ne le laissait pas paraître. Même seul. Puis les feuilles servant d'assiètes refroidirent, et la viande attendait d'être mangée, grillée a point.

Elen parti, sans plus aucun regard pour le "macaque". De toute façon, il était déjà loin. Chassant de son esprit l'inconnue, elle s'assit sur une pierre au milieu d'une petite clairière, et leva la tête vers la pleine lune. Car il faisait nuit. Une belle nuit bien noire, ou la lune avait du mal a éclairé la clairière. Un bruissement fit un petit courant d'air derrière elle. Elle ne bougea pas, et ferma les yeux. Un autre devant. Puis un froissement d'aile. Enfin, plus rien. Alors qu'elle semblait rêver, deux yeux rouges apparurent derrières elle, puis une rangée de dent blanche. Ellen se détendit soudainement comme un ressort, et envoya son gunblade droit dans la gueule denté, tout en se levant.

Elle vit une trace de sang sur son épée, alors qu'un chien d'une noirceur extrême apparaissait devant elle, secouant sa tête ou coulait un filet de sang. Un shadowss. Un chien ombre. Soudainement, plusieurs apparurent autour d'elle. Levant son épée, elle tira des coups sur les bêtes infernales, qui les évitaient agilement, telle des nuages de brouillard. Ils passèrent à l'attaque, sautant sur elle, évitant ses coups. Ellen tira sans aucun arrêt, droite sur son rocher, tournant au fur et a mesure de ses tires. Elle commencait à peine le combats, que déjà son bras fatiguer. Et se baissa, et tournoya, envoyant des coups d'épée, qui toucher rarement leur victime. Azeroth... Pourquoi chercher-t-il à la récupérer? Après l'avoir abandonner? Elle évita un coup destiner à l'éventrer et se concentra sur le combat.

Un shadowss s'approcha de l'elfe. Il ne devait pas y avoir de survivant.

Sareko sentit une présence terriblement sombre derrière lui. Il ne se retourna même pas. Il se leva simplement, toujours le dos tourné a la présence hostile. Il était tranquille, pour une fois... Se battre était la dernièrre chose qu'il avait envie de faire. Il sentait que la bestiole dans son dos allait attaquer. L'elfe se concentra. Si il n'avait pas envie de se battre, il ne se battrait pas. Une lueur sauvage passa dans ses yeux, et la bestiole fut paralysée en plein saut. Cette dernièrre retomba juste derrière lui, frôlant ses talons. Bon, ce shadowss est hors de combat.

Mais Sareko sentait plusieurs autres présences hostiles autour de lui, et même jusque dans la clairière. Il devina que les shadowss étaient rassemblés autour d'Ellen, car il avait vu la marque des bannis dans le dos de cette dernière. D'un bond, il atterit sur une haute branche, et sauta grâce a celle-ci sur la branche de l'arbre voisin.

Dans un équilible parfait, il sauta d'arbres en arbres, jusqu'a atteindre la clairière ou Ellen se faisait attaquer.

Ellen tenta la chose la plus folle de sa vie: Une demi-transformation. Elle aurait certaine particularité de Chaos et de Darkness, mais aussi leur conscience dans sa tête. La transformation commença, difficilement. Elle tentait d'esquiver les coups des shadowss, et en plus faire cette transformation. Ses canines se rallongèrent, formant une paire de croc, ses yeux devinrent plus profond, gris bleu, si profond qu'on aurait put s'y noyer. Mais sa pupille se fendit d'un coup. Ses ongles furent comme taillé, plus pointue, comme des griffes. Mais un bruissement, qu'elle n'avait jusque la pas entendus, la fit se retourner. Son gunblade pointé vers les arbres, sa vu perçante, devenus celle de Darknesse et de Chaos, dévoilèrent l'elfe qui autrement aurait était invisible. (Tire!!!) (Non) (...)

Ellen vacilla, puis d'un bond digne des plus grands félins, sauta sur le dos d'un shadowss, puis d'un autre, avant de sauter dans l'arbre ou Sareko était accroupie. (Tue le) (Laisse le tranquille!!) (...)

Elle saisit l'elfe, failli le jeter mais l'entraîna. (lache le.) (Sauve le.) (...)
Ses pensées ne lui appartenaient plus. Elle eu du mal a ne pas se comporter comme Chaos ou Darkness. Elle n'avait plus aucun avis. Tirant l'elfe, en cavalant a une vitesse folle, évitant branche et cailloux, sautant tronc mort et ravine, elle arriva vers une drôle de maison, en ruine. Ses ongles enfoncés dans la chair du bras de l'elfe, elle entra.

(=> Maison délabrer)

Lorsque les ongles d'Ellen rentrèrent dans sa peau, une goutte de sang perla sur le bras du jeune elfe. Il laissa Ellen l'emmener dans broncher, si sa lui faisait plaisir...

Quand il vit la maison délabrée, il la regarda en détails. La maison était noire, et paraîssait très vieille. Quand Ellen le fit entrer, il s'arreta brusquement. Bon, il avait laissé la femme le tirer et planter ses ongles dans son bras, maintenant, elle le lâche ! D'un geste violent, il arrache son bras des main d'Ellen. Il avait vu briller des crocs dans la bouche de la jeune femme, mais y resta indifférent.

La maison faisait divers craquements lugubres, n'influanssant nullement Sareko. Il commença a grimper les escaliers de bois, laissant Ellen derrière lui. Il arriva au premier palier. Il se baissa pour éviter une toile d'araignée, sauta par dessus un meuble qu'il n'avait pas envie de pousser de son chemin, en direction de l'escalier menant a l'étage suivant. Pour cela, il fallait traverser la pièce, car l'escalier était caché derrière la porte au bout de celle-ci.

Lorsqu'il atteignit la fameuse porte, il attrapa la poignée, la tourna... Et se retrouva nez a nez avec un mur. Il effleura celui-ci du bout des doigts, et lui donna un violent coup de poing. Il avait senti, en touchant le mur, qu'il avait du vide derrière. Le mur de brisa, révélant un escalier qui paraîssait peu solide. Il s'avança, enjambant les débris du mur, et commença a grimper l'escalier d'une démarche légère. Il n'y avait pas de rembarde entre le bord de l'escalier et ce qui devait être le centre de la pièce. Ce qui devait être le centre de la pièce... Oui, car la pièce n'avait pas de centre. Un gouffre profond et noir s'ouvrait a côté de l'escalier, et paraîssait sans fond. Le vide total, noir, si profond que Sareko ne voyait pas sa fin, même avec sa vue d'efle affutée.